Un fléau qui doit s'arrêter définitivement
(Crédit texte : Julie Muaka )
« Non aux mutilations génitales ».
Parlons des mutilations génitales en ce mois de mars 2021. Plusieurs filles africaines subissent la mutilation génitale , qui s’explique par l’ablation des organes génitaux externes féminins dans le but de priver les filles et les femmes du plaisir sexuel. Cette forme de pratique s’appelle excision. De nos jours cette forme de pratique existe encore et constitue une violation des droits fondamentaux des filles et des femmes. L'ONU déclare entre 100 et 140 millions de filles et femmes ont subi l’un de 3 premiers types des mutilations ( source ONU). Même au Canada la pratique se fait d’une manière clandestine en 2021.
En 2006 La Somalie remporte le pourcentage le plus élevé des mutilations des filles et des femmes comparer aux autres pays de l’Afrique.
La journaliste Isha Sessay nommée ambassadrice de bonne volonté qui soutiendra la lutte pour mettre fin à la violation faite aux femmes, les mutilations génitales féminines et le mariage des enfants . En ce mois de Mars, de la femme CFIAC compatit aux douleurs et à la souffrance que vivent les femmes et jeunes filles.
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