Parlons de l’hypersexualisation.
L'hypersexualisation de la jeune fille est un problème socialement important à signaler dont les parents ne se rendent pas compte. Les jeunes filles pré-adolescentes sont la plupart de temps attirés par l’industrie de la mode, la consommation cyber-pornographique. Un problème social en chiffre croissant accentué par le confinement suite à l’isolement et manque de socialisation. Les jeunes se plonge dans un monde virtuel qui influence leur comportement. Nous pointons du doigt ce phénomène puisqu'il est présent, les jeunes eux même ne savent pas les conséquences que cela peut engendrer dans leur vie.
L’industrie de la mode et des médias sociaux influencent leur habitude. Les jeunes filles se retrouvent dans un problème social qui peut créer plusieurs dépendances qui pourrait affecter leur rendement scolaire et sociale . Voila pourquoi Cfiac en parle. Les jeunes filles ont besoin de vivre leur jeunesse. La jeune fille après avoir vécue ce mode de vie en vieillissant, elle risque de connaître une sexualité précoce et se plonger dans la consommation des stupéfiants. Alors si vous avez des jeunes filles prenez votre place dans le choix de leur vêtements.
« Un danger pour nos enfants ».
L’hypersexualisation se présente comme suit : la consommation de la pornographie à travers l’internet et aussi l’accoutrement de la jeune fille et le clavardage à caractère sexuel.
La jeune fille a besoin d’être aidé par la famille immédiate et aussi être accompagné dans le choix de ses vêtements. Soyons présents dans la vie de nos jeunes filles car la communication est importante et si les parents observent un de ces comportements inappropriés ils doivent agir immédiatement avec les ressources disponibles dans les centres d'accompagnements sociaux. En effet l’hypersexualisation se compose de 3 dimensions à savoir: l'attitude, l’apparence et les pratiques sexuelles. Une conférence suivra pour essayer de développer et d’expliquer aux parents ce phénomène ainsi que ses conséquences dans la vie de nos jeunes filles.
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Crédit texte : Julie Muaka
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